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Le vendredi 13 janvier 2012, à 20 heures 30, à l'Espace Noriac, Gilbert Ponté présente le troisième volet de sa saga familiale.

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C'est donc la fin d’une trilogie… Après “Giacomo, l’enfant de la cité” ou la brassée d’enfance de Giacomo, fils d’ouvriers italiens arrivés en France au début des années 60, et “Giacomo, sur les planches”, souvenirs d’adolescence et découverte du théâtre avec Molière et ses «Fourberies de Scapin», voici venir le dernier épisode de la trilogie : “Le monde est grand, Giacomo !” ou quelques instantanés du passage à l’âge adulte, dans le désordre… La mémoire est si fantasque au fond, qu’on ne peut qu’en rire !

Giacomo a 18 ans, et c’est décidé, il sera comédien ! Le voici donc à Paris en pleine effervescence post mai 1981 : la Gauche est revenue aux affaires, et le monde va changer, c’est sûr !... A la manière d’un grand pêle-mêle de souvenirs tendres ou hilarants, Giacomo part en colonie de vacances, travaille au Moulin Rouge, entre dans une “grande école de théâtre”, ramasse des noisettes pour sa mère Maria, ou tombe amoureux d’Hortense ; et Gilbert Ponté interprète de nouveau avec gourmandise une foule de personnages bigarrés et comiques :
Jojo, un accessoiriste fripon ; Madame Gandouga, volubile “mamma” africaine ; Monsieur Albert, qui passe son temps à faire pisser son chien ; Roselitta, femme de ménage autoritaire ; Eric, l’ami qui a commencé le théâtre chez les jésuites ; sans oublier “Madame la Mort” elle-même…
Car, entre deux éclats de rire, Gilbert Ponté ose l’émotion, et cela lui va bien…

Les critiques

Télérama : Interprétant à lui seul tous les personnages de cette chronique tragi-comique, Gilbert Ponté nous entraîne du rire à l’émotion. Subtilement, sans démagogie, il incite aussi à la réflexion: pour les immigrés, plus de cinquante ans après, les choses ont-elles changé ? (M. Bourcet)

La Croix : Avec beaucoup d'humour et de tendresse, Gilbert Ponté fait cohabiter l'Italie, le Maghreb et l'Afrique, mais aussi les "fachos", les "machos" et les racistes, et nous promène avec talent dans sa mémoire. Du grand art. (A. Darmon)

Le Figaro Magazine : Tout en finesse et en légèreté, ce spectacle drôle et touchant est profondément humain. A déguster avec respect. (T. Grenez)

Pariscope : Mis en scène par Stéphane Aucante, dans une grande humanité, Gilbert Ponté investit chaque personnage et parle tout simplement de la vie. C'est très beau. (M.-C. Rivière)



Texte et interprétation : Gilbert PontéLuigi
Mise en scène : Stéphane Aucante
Décors : Gilles Teyssier
Lumières et vidéos : Kosta Asmanis
Son : Richard Gilil
Marionette: Neville Tranter
Le spectacle a été créé à l'
Espace Kiron, Paris
par le Théatre de la Birba
et le Théatre Alicante

Renseignements pratiques

Espace Noriac, 10 Rue Jules Noriac , 87000 Limoges.


Le vendredi 13 janvier 2012 à 20 heures 30. Durée 1 heure 30.

Tarif plein: 14 euros.

Adhérents de l'association Dante Alighieri: 12 euros.

Moins de 26 ans et demandeurs d'emploi sur justificatif: 9 euros.

Réservations : rubrique Contact ou au 05.55.32.04.48

Ce spectacle est organisé à l'Espace Noriac avec le précieux soutien du Conseil Général de la Haute-Vienne.

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