Cinéma


 Par amour

 

Le mardi 22 octobre 2019 à 20h30

Espace Jules Noriac

Par amour

(Per amor vostro)

de Giuseppe GAUDINO , 2015, 110 mn

 

avec Valeria Golino, Massimiliano Gallo, Adriano Giannini

 

La scène se déroule à Naples où Anna Ruotolo femme indolente a une pauvre vie agrémentée uniquement par la vue de la mer depuis sa terrasse. Sa famille est composée de deux filles, d'un garçon sourd et d'un mari violent impliqué dans l'usure qu'elle voudrait chasser de la maison. La situation évolue quand Anna trouve un travail de technicienne sur le tournage d'un feuilleton local et tombe sous le charme de l'acteur principal, le vaniteux Michele Migliaccio. Dès lors sa vie de marionnette désabusée toujours disposée à aider les autres touche à sa fin.

La nuit de San Lorenzo

 

Le vendredi 13 septembre 2019 à 19 h.

Espace Jules Noriac

La Nuit de San Lorenzo

(La Notte di San Lorenzo)

de Vittorio et Paolo TAVIANI , 1982, 105 mn

 

 

 

 

 

Comme chaque année, à la nuit de San Lorenzo, des étoiles filantes traversent le ciel. Cecilia fait un voeu : réussir à raconter à un être cher une autre nuit de San Lorenzo, celle du 10 août 1944. Cette nuit-là, dans le village de San Martino, en Toscane : les Allemands, qui fuient l'avancée des troupes américaines, minent les maisons et obligent les
habitants à se rassembler dans l'église. Devant ce qui pourrait bien s’apparenter à un traquenard, les villageois se réunissent clandestinement pour définir une ligne de conduite. Certains se rallient à la cause du prêtre et l’accompagnent dans sa demeure sacrée, tandis que les autres, à la suite de Galvano Galvani, décident de prendre la route pour aller à la rencontre des Alliés.

C’est leur périple que les frères Taviani se proposent de nous faire découvrir.

 

Quelques critiques :

 

La Nuit de San Lorenzo est une épopée lyrique tour à tour âpre et accueillante et en cela, ça en fait un grand film.

Sens critique


Ce très beau récit plein d'espoir envoûte par la qualité de ses images et de ses interprètes. En outre, la musique achève de nous convaincre
quant à la réussite de l'ensemble.

Allociné


Superbe, tendre, émouvant, fascinant, drôle, terrifiant.

Le Figaro


Une histoire devient une chanson de geste‚ un souffle épique devient une exubérance baroque, métaphore du passé pour interroger le présent !


Télérama

 

 

affiche César doit mourir w

Le lundi 6 mai 2019 à 20h30

Espace Jules Noriac

César doit mourir

(Cesare deve morire)

de Vittorio et Paolo TAVIANI , 2012, 1h16min

Avec Cosimo Rega, Salvatore Striano, Giovanni Arcuri

 


Théâtre de la prison de Rebibbia. La représentation de Jules César de
Shakespeare s’achève sous les applaudissements. Les lumières
s’éteignent sur les acteurs redevenus des détenus. Ils sont escortés et
enfermés dans leur cellule. Mais qui sont ces acteurs d’un jour ? Pour
quelle faute ont-ils été condamnés et comment ont-ils vécu cette expérience  artistique en commun?


Le film suit l’élaboration de la pièce, depuis les essais et la découverte du texte, jusqu'à la représentation finale.

 

 

 

 

affiche Folles de joie w

Le mardi  9 avril 2019 à 20h30

Espace Jules Noriac

Folles de joie

(La Pazza Gioia)

Réalisé par Paolo Virzi, 2016, 1h58min

Avec Valeria Bruni Tedeschi, Micaela Ramazzotti, Anna Galiena

 

Beatrice est une mythomane bavarde au comportement excessif.
Donatella est une jeune femme fragile et introvertie. Ces deux patientes
de la Villa Biondi, une institution thérapeutique pour femmes sujettes à
des troubles mentaux se lient d'amitié. Une après-midi, elles décident de
s'enfuir. Livrées à elles-mêmes en ville, Beatrice et Donatella tentent de
redonner un sens à leurs vies brisées et de trouver un peu de bonheur.

 

 

 

 

affiche Un destin w

Le mardi 5 février 2019 à 20h30

Espace Jules Noriac

 

Vers un destin insolite, sur les flots bleus de l'été

(Travolti da un insolito destino nell'azzurro mare d'agosto)

Réalisé par Lina Wertmüller, 1974, 2h05mn

Avec Giancarlo Giannini et Mariangela Melato

 

Le film sorti en 1974 raconte l'histoire d'une riche bourgeoise dont les vacances sur un yacht avec des amis en Méditerranée prennent une tournure inattendue quand elle et l'un des membres d'équipage sont séparés des autres et qu'ils s'échouent sur une île déserte. Leurs antagonismes se heurtent rapidement, mais au cours de la lutte pour leur survie, les rôles sociaux s'inversent

 

 

  Lina Wertmüller w

Lina Wertmüller

Lina Wertmüller est la fille d'un avocat romain. Institutrice avant de se lancer dans une carrière artistique, elle devient assistante de Federico Fellini sur le film 8 1/2. En 1963, elle réalise son premier film, I basilischi, récompensé au festival de Locarno.

C'est le film Mimi métallo blessé dans son honneur, présenté en 1972, qui la fait connaître au grand public.Satire des moeurs siciliennes, ce film met en vedette Giancarlo Giannini et Mariangela Melato.

L'année suivante, Lina Wertmüller présente un de ses films les plus célèbres, Vers un destin insolite, sur les flots bleus de l'été, une comédie satirique où se côtoient guerre des sexes et lutte des classes. En 1977, Pasqualino, film sur l'univers concentrationnaire, est nommé aux Oscars à quatre reprises et permet à la cinéaste de devenir la première femme en nomination pour l'Oscar de la mise en scène.

Après D'amour et de sang en 1978, elle s'éloigne un temps du cinéma et ne revient qu'en 1983 avec Scherzo del destino in agguato dietro l'angolo come un brigante da strada, comédie qu'elle coscénarise avec Agenore Incrocci et qui met en vedette Ugo Tognazzi. En 1985, elle réalise sa seule oeuvre totalement dramatique, Un complicato intrigo di donne, vicoli e delitti, drame social portant sur les ravages causés par la mafia.

Par la suite, elle continue à tourner assez régulièrement, travaillant parfois pour la télévision et proposant toujours des films incorporant humour et critique sociale.

 

 Quelques (bonnes) critiques

"Petite merveille d'humour corrosif, film éminemment politique... La réalisatrice italienne Lina Wertmüller nous livre ici sa vision de la lutte des classes couplée à la guerre des sexes, c'est épique, c'est grandiose, c'est un film culte."

Allociné

"Foncièrement comique dans sa première partie, n'hésitant pas à forcer la caricature grâce à ses deux acteurs interprétant avec malice leurs personnages excessifs, Vers un destin insolite... confirme le goût de sa réalisatrice pour la multiplicité des genres passant avec brio de la farce au film de survie, de la romance passionnée au drame."

Sens critique

Un lien pour en savoir plus

Ciné-club Flyer Vers un destin insolite

Le film est en version originale sous-titrée.

Il est présenté dans le cadre de Primissimo Piano, l'activité ciné-club de la Dante Alighieri,

 

Adhésion ciné-club (carte verte Interfilm valable pour la saison 2018-2019) : 1 €;  Carte offerte aux membres de la Dante Alighieri.

Participation aux frais : 5 €, réduit 2€.

Pot convivial à l'issue de la projection.


Si vous souhaitez participer à la diffusion de l'information pour cette projection vous pouvez télécharger et distribuer le prospectus ci-joint : cliquez sur l'image et imprimez le pdf.

 logo PP t 300dpiMerci de participer et à bientôt au cinéma !

logo dep87logo culture87Manifestation organisée grâce au soutien
du Conseil Départemental
de la Haute-Vienne

en partenariat avec l'Espace Noriac
(10, rue Jules Noriac)

Voici le programme des séances de cinéma italien au premier semestre 2019 :

À la Bfm en janvier cycle Escapade à Naples

le 12 à 14h30 L'or de Naples, de Vittorio de Sica, 1954.

le 15 à 18h00 L'intrusa, de Leonardi di Costanzo, 2017.

le 18 à 18h00 Reality, de Matteo Garrone, 2012.

le 22 à 18h00 Gomorra, de Matteo Garrone, 2008.

 Vous trouverez une présentation plus détaillée de ces journées pdfici.

 

Les prochains rendez-vous du ciné-club italien à l’Espace Noriac :


05 février 2019            Vers un destin insolite, sur les flots bleus de l'été de Lina Wertmüller (1974),

9 avril 2019                   Folles de joie de Paolo Virzi (2016)

6 mai 2019                    Cesar doit mourir des Frères Taviani (2012)

 

affiche PAUVRES mais BEAUX w

 

 

Le mardi  6 novembre 2018 à 20h30

Espace Jules Noriac

Pauvres mais beaux (Poveri ma belli)

Réalisé par Nino Risi, 1956, 1h41min

Avec Marisa Allasio, Renato Salvatori, Maurizio Arena, Ettore Mani

 

Romolo et Salvatore sont deux jeunes coqs qui enchaînent les conquêtes. Leur amitié est mise à rude épreuve lorsqu'ils tombent amoureux de Giovanna, une jeune femme belle et libre.

 

 

affiche MIA MADRE w

Le mardi  9 octobre 2018 à 20h30

Espace Jules Noriac

Mia Madre

Réalisé par Nanni Moretti, 2015, 1h42min

Avec Margherita Buy, John Turturro, Giulia Lazzarini

 

Margherita est une réalisatrice en plein tournage d'un film dont le rôle principal est tenu par un célèbre acteur américain. À ses questionnements d'artiste engagée, se mêlent des angoisses d'ordre privé : sa mère est à l'hôpital, sa fille en pleine crise d'adolescence. Son frère, quant à lui, se montre comme toujours irréprochable. Margherita parviendra-t-elle à se sentir à la hauteur, dans son travail comme dans sa famille ?

 

 

affiche VIVERE w

Le mardi 17 avril 2018 à 20h30

Espace Jules Noriac

Vivere

Réalisé par Judith Abitbol,

avec Ede Bartolozzi et Paola Valentini,
documentaire, 2016, 1h49min, vostf

A partir de 2001, Judith Abitbol a filmé pendant huit ans, dans le village de Modigliana dans la vallée du Tramazzo en Emilie-Romagne, Ede Bartolozzi et sa fille Paola qui, vivant à l’étranger, lui rend régulièrement de brèves visites. Lorsque les premiers signes de la maladie d’Alzheimer apparaissent les prises de vues continuent avec l’assentiment d’Ede et de ses enfants et se poursuivront jusqu’à la fin de vie d’Ede.
A partir de ce « journal » filmé avec tact par la réalisatrice avec des moyens légers, Judith Abitbol et sa monteuse Cyrielle Thélot vont construire, plus qu’un documentaire, un film-témoignage sur l’amour mère-fille, jusque dans le grand âge et les absences liées à la maladie.

 

 

affiche Ultima w

Le mardi 20 février 2018 à 20h30

Espace Jules Noriac

L'ultima spiaggia

Réalisé par Thanos Anastapoulos et Davide Del Degan,
documentaire, 2016, 1h58min, vostf

Au Pedocìn, plage populaire de Trieste, hommes et femmes sont séparés par un mur de béton.
Bienheureux dans l’entre soi, chacun amène sa vie avec lui et nourrit ce lieu unique et pittoresque.
Réflexion sur les frontières, les identités et les générations, L’ultima Spiaggia est une tragi-comédie sur la nature humaine.

 

 

  Thanos Anastapoulos w

Thanos Anastopoulos

Il est né à Athènes et vit entre l’Italie et la Grèce. Son premier long-métrage, ATLAS-TOUT LE POIDS DU MONDE est présenté au festival de Rotterdam en 2004. Son second film CORRECTION est sélectionné à Berlin en 2008 et représente la Grèce aux Oscars. En 2013 il réalise LA FILLE  sélectionné à Berlin et Toronto.

 

davide del degan wDavide Del Degan

Il débute sa carrière en tant qu’assistant réalisateur et réalise son premier court-métrage A CORTO D’AMORE en 2001. Son second court-métrage INTERNO 9 est nommé au David di Donatello et remporte le Globe d’or en 2004. En 2011, son court-métrage  HABIBI reçoit le Nastro d’Argento.

 

 Quelques (bonnes) critiques

« Cette dernière plage, un romancier aurait pu l’inventer… On la surnomme en dialecte triestin "El Pedocin", autrement dit "l’épouilloir", au prétexte que l’Adriatique éliminerait poux et parasites. Elle se situe au centre de Trieste, ville austro-hongroise rattachée à l’Italie en 1954, située à l’extrême nord-est de la péninsule et à la frontière de la Slovénie. Le Grec Thanos Anastopoulos et l’Italien Davide Del Degan ont filmé pendant quatre mois ce lieu improbable, d’une tristesse et d’une gaieté parfois réconciliables. Ils ont pris le temps – un peu trop, mais cela ajoute à la mélancolie de "l’Ultima Spiaggia" – d’en décrire les rituels, d’en portraiturer les habitués des deux sexes, d’en montrer les mœurs surannées et les corps fatigués. Pas de commentaires, pas d’interviews, pas d’analyse anthropologique : seulement une manière de commedia dell’arte en bord de mer où, tous milieux sociaux et générations confondus, la vie prend le soleil, se baigne, pique-nique, chante, roupille, s’ennuie, s’oublie, vieillit et ignore obstinément l’actualité – y compris la crise migratoire.  Le premier livre du Triestin Italo Svevo s’appelait "l’Avenir de la mémoire. Ce pourrait être l’autre titre de ce film à la fois naturaliste et fantomatique.»
(Jérôme Garcin, l’Obs)

« A Trieste, ville italienne à proximité de la Slovénie, la plage courue du Pedocin est l’une des dernières en Europe à séparer les espaces des hommes et des femmes. C’est toute une petite troupe de personnes âgées qui tiennent les murs et, même si en haute saison la fréquentation se diversifie, chaque centimètre de bien-être se distribue selon des rituels et des habitudes bien ordonnées.
Thanos Anastopoulos et Davide Del Degan, duo de documentaristes gréco-italien, filment ce champ infini d’étude anthropologique qu’est la plage, à la fois comme une fin possible de la civilisation occidentale et de sa population vieillissante, et comme un petit théâtre du délassement jaloux et de l’exposition de soi. On pouvait craindre un film moqueur, mais celui-ci accueille généreusement les diverses morphologies, avec un sens certain du carnavalesque.
Des images d’archive rappellent, par moments, la situation frontalière et cosmopolite de la ville (à la croisée des cultures slaves et latines), et des vues subaquatiques marquent autant de suspensions poétiques. On peut malgré tout regretter que le film piétine dans le farniente sans se chercher d’autres vitesses, d’autres approches. Ainsi, il ne fait qu’effleurer, à l’occasion, le revers direct de cette mer Méditerranée dont, de ce côté-ci, on jouit oisivement, alors que de l’autre, on continue d’y échouer et de mourir. »
(Mathieu Macheret, Le Monde, 29/3/17)

« D'un côté, les hommes. De l'autre, les femmes. La plage de Pedocìn, à Trieste, est la dernière plage non mixte d'Europe, où un mur sépare les baigneurs et les baigneuses, cette séparation se prolongeant même par une frontière dans la mer. Un vestige de l'Empire austro-hongrois, auquel la ville a appartenu jusqu'en 1921. Elle fut ensuite, successivement, terre de fascisme et d'extermination des Juifs, d'occupation par Tito, de protectorat de l'ONU, pour enfin redevenir italienne en 1954. Thanos Anastopoulos et Davide Del Degan, duo de documentaristes gréco-italien, ont eu la lumineuse idée de poser leur caméra sur cette plage fréquentée hors saison par des personnes âgées qui se souviennent, chacune de leur côté.
Gros plans sur leurs tongs, sur des chats errants qu'ils nourrissent, sur les transats qu'ils se disputent. Les images d'archives rappellent, par moments, la situation frontalière et cosmopolite de la ville, mais c'est en se coulant dans le rythme indolent du documentaire et en s'attachant à cette vingtaine de vieux visages anonymes, avec leurs corps presque nus et leurs souvenirs souvent douloureux, que se dessine l'âme de Trieste et, partant, celle d'une Europe vieillissante qui se bat pour garder sa place au soleil. Les baigneuses le savent bien : au moment où elles parlent, sur d'autres plages, des gens s'échouent et meurent à cause d'autres murs, invisibles mais bien plus inhumains. Et les deux réalisateurs n'ont pas choisi ce titre par hasard : en italien « essere all'ultima spiaggia » (« être à la dernière plage ») est une expression qui signifie le dernier recours, le dernier espoir, la dernière chance... »
(Guillemette Odicino, Télérama, 29/3/17)

« Imaginez une comédie italienne dont l'unique scénario serait le rythme de vie pépère d'un groupe de seniors et de signoras en maillots bain qu'une érection bétonneuse sépare les uns des autres. Si mâles et femelles font grèves à part, ça n'est pas pour des raisons religieuses mais, tout simplement, pour rester entre potes et potesses, chacun chez soi, mais sur le même palier littoral. Un peu comme ces vieux couples où la sagesse a terrassé le sexe, ne laissant plus que le désir...d'être peinard. Les réalisateurs ont suivi l'écoulement lascif des jours sur ces peaux tannées par les UV et les embruns. Au fil du temps libre de ces rentiers débonnaires, les journées s'écoulent selon un rite quasi immuable.
Dès l'ouverture des portes de ce club privé ouvert à tous et à toutes - du moment que les chromosomes XY en slip de bain ne se mélangent pas aux chromosomes XX en bikini -, les habitués débarquent un à un comme une colonie de vénérables pingouins hâlés sur une banquise de sable. Inutile de rompre la glace, tous se connaissent depuis des temps quasi immémoriaux. De la cérémonie de la mise en place des chaises-longues jusqu'à la fermeture des portes de ce sanctuaire coupé du reste du monde, le film nous fait partager le bonheur tranquille de ces "pensionnaires". Ils ont fini par former une sorte de famille solaire, une fraternité où l'on partage ses souvenirs, ses blagues, où l'on chante, où l'on s'engueule, où l'on se mobilise pour des toilettes bouchées...
Et si le clan des dames (voire des veuves...) et celui des messieurs ne fusionnent pas, ils se croisent à la buvette et s'apostrophent par-dessus les flots. Ici on a beau être en petite tenue, la coquetterie est de rigueur, et les rires et le vin, une hymne à la joie...ultime. Les semaines passent, et certains trépassent. Vue la moyenne d'âge, le risque de décès est, bien sûr, plus élevé que sur les autres plages... Souvent aussi drôle que du Dino Risi, ce documentaire parfois répétitif (il dure deux heures) est une ode maritime à une certaine vieillesse qui a conservé toute sa jeunesse. Une sorte d'utopie bien réelle, une rêverie nonchalante, pleine de bruit et de douceur...de vivre. Et comme le chantait Brassens, en regardant ce documentaire tragi-comique, "vous envierez un peu, l'éternel estivant qui fait du pédalo sur la vague en rêvant... »
(Alain Spira, Paris-Match, 26/11/16)

Des liens pour en savoir plus

  • La bande annonce du film (vidéo Youtube).
  • Un entretien des réalisateurs avec Mariangela Castrovilli pour VsumTv à Cannes (video Youtube) en italien.
  • Un autre entretien (video Youtube) pour les Rencontres du GNCR (Groupement National des Cinémas de Recherche)
  • L'intervention de Thanos Anastopoulos dans Ping-Pong sur France Culture. (Descendre un peu dans la page jusqu'à afficher tout en haut "Corinne Bélier et Thanos Anastopoulos" puis cliquer sur la flèche de lancement).

Ciné-club Flyer l ultima spiaggia

Le film est en version originale sous-titrée.

Il est présenté dans le cadre de Primissimo Piano, l'activité ciné-club de la Dante Alighieri,

 

Adhésion ciné-club (carte verte Interfilm valable pour la saison 2017-2018) : 1 €;  Carte offerte aux membres de la Dante Alighieri.

Participation aux frais : 5 €, réduit 4€.

Pot convivial à l'issue de la projection.


Si vous souhaitez participer à la diffusion de l'information pour cette projection vous pouvez télécharger et distribuer le prospectus ci-joint : cliquez sur l'image et imprimez le pdf.

 logo PP t 300dpiMerci de participer et à bientôt au cinéma !

logo dep87logo culture87Manifestation organisée grâce au soutien
du Conseil Départemental
de la Haute-Vienne

en partenariat avec l'Espace Noriac
(10, rue Jules Noriac)